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Uns AYSAME ANDEME me e robe qui s'acheveu blanche. Mais celte for au grand étonnement de se mere, que dans un ve Le matin aux aurores, un brouillard noirci enveloppail METANGA SI Des mes be fomenturies au-dessus des toits de ce quarter hors du temps. Les premiers rayons de sciell ne diapirent pas ce phén Inhabituel L'air était fade. Une odeur acre de chair pour prenait à la gorge. De settes shouettes longer cours d'eau. Des clameurs s'élevalent. Les voix des femmes grisatient Fair en snçar ses jurons. Les femmes frappalent leurs bustes en psalmodiant. Les aboiements matinaux des chiens sonnent comme u à la mort Un corps, la figure enfoulée dans l'eau, les pieds sur la côte, les cheveux ensangentes état co le ventre Alertée par les cris, ANDEME se pencha depuis sa fenêtre. Pule à cause de la mauvace descendit de son perchoir. Elle longea, le cœur halatant, le cours d'eau. ATSAME était pas rende.com habitude au petit matin. ANDEME favalt vainement attendue. Le corps présentait des ecchymoses. On le retouma. C'était une fille. Le sein droit et sectionné foule entourait le corps. ANDEME arriva et fixa le macchabée. Elle regardait d'une crosité coupa étendu Soudain, ses yeux devinrent livides. Le jour s'assombrit. Les chiens se turent. Tout devint noir ATSAME gisait là... Narcisse EYI MENIE, Les matinées sombres, Libreville MAGALI, 2004. faire une l'introduction, développement et conclusion du commentaire composé

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