Répondre :
Coucou,
Le dernier vers nous ramène bien au premier vers, c'est-à-dire au point de départ (de son chagrin). En effet, on peut parler ici, d'un poème circulaire ; il y a une idée de répétition « Il me remet en mon premier malheur » : le préfixe nous montre bien cette répétition.
Ainsi, la poètesse est emportée dans ce cerle fatal, elle est perdue dans son "malheur".
Voilà :)