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Un matin de Novembre,alors qu'une douce fraicheur habitait les rue de Noya, je me trouvais installé devant ma fenêtre, un roman a la main, bercée par la chaleur d'un légerr rayon de soleil. Toute mon attention était consacrée à l'ouvrage jusqu'à l'instant où mon esprit fu capté par quelques agitements à l'exterieur. En effet, à travers la vitre, je pouvais remarquer une masse d'individu surprenante dans un lieu aussi reculé, courir, alarmés, s'affoler, éssouflés, et crier à n'en plus pouvoir... Intriguée, voir même appeurée par ce désordre, je me rapprocha de la fenêtre d'une lenteur craintive, et découvris avec horreur une créature aussi monstrueuse qu'impressionnante se précipiter sur tout ce qu'elle pouvait voir bouger, sans scrupule, tel un chien pourrait s'amuser d'une fourmi. J'eu tout d'abord le souffle coupé. Aucun son ne pouvait à présent sortir de mes cordes vocales. Mon corp tout entier était crispé, figé, devant se spectacle abassourdissant. Les gens fuyait, se bousculait, hurlait de terreur devant cette immense bête, bien plus haute encore que le clocher de l'eglise, haute a en toucher le ciel. Au milieu du chemin, une petite fille, perdu, pleurait, seule, réclamant vainement les bras d'un passant, des parents cherchait désespéremment leurs enfants, d'autres ne pensait qu'à partir au plus vite, pour sauver leur vie, face à la tornade qui continuait de ravaer le village, piétinant tout sur son passage, sans pitié. Jamais je ne m'étais trouvé trouvée aussi proche de mes dernières minutes...
Voilà, j'espere que tu as le droit d'utiliser le point de vue interne, si ce n'est pas précisé, ça devrait aller.
ps : Noya est un petit village du Jura