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Dans les bras de la nature, je me perds, Mais je sens son souffle rauque et amer. Les larmes de la Terre pleuvent sur moi, Criant sa douleur, son désarroi.Je suis le témoin de sa détresse, Sous l'emprise de la cupidité sans cesse. Les arbres géants tombent au sol, Étouffés par l'avidité qui les vole.Je crie à l'injustice, au désespoir, Face à la folie qui nous dévore. Les océans étouffent dans le plastique, La vie marine se noie dans la panique.Je clame haut et fort ma révolte, Contre cette destruction qui révolte. Il est temps d'agir, de protéger notre Terre, Avant qu'elle ne devienne un désert.Éveillons-nous à la beauté qui nous entoure, Avant qu'il ne soit trop tard, avant le jour sombre. Unissons nos voix, nos cœurs, nos mains, Pour préserver ce trésor, ce bien commun divin.