Website Statistics Bonjour Je voudrais que quelquun maide à comprendre le livre LA DAME DE PIQUE DE POUSHKINE

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salut c' est le résumé il est un peu long

Une nuit d'hiver, chez le lieutenant Naroumof, cinq jeunes gens passent leur temps à jouer. Ils en viennent à discuter du mystérieux pouvoir de la comtesse Anna Fedotovna, grand-mère de l'un d'entre eux, Paul Tomski. La vieille dame connaîtrait une combinaison secrète de trois cartes permettant de gagner infailliblement au jeu de pharaon.

Tomski narre l'histoire de sa grand-mère. Alors qu'elle séjournait à Versailles dans sa jeunesse, elle jouait beaucoup. Un soir, elle perdit une somme colossale, ce qui provoqua la colère de son mari. Elle trouva une aide inespérée chez le comte de Saint-Germain : il lui révéla une martingale par laquelle elle regagna tout son argent le soir même. Mais depuis, la comtesse refuse obstinément de livrer son secret.

L'un des cinq compagnons de jeu est Hermann, jeune officier du génie d'origine allemande. Il n'a jamais touché une seule carte. Fasciné par la richesse que pourrait lui procurer la combinaison mystérieuse, il séduit Lisabéta Ivanovna, demoiselle de compagnie de la comtesse. Lisabéta lui donne rendez-vous un soir dans sa chambre. Mais Hermann s'introduit par une autre porte et se cache dans une pièce voisine. Après plusieurs heures d'attente, il entre chez la vieille dame, qui s'apprête à se coucher. Effrayée par l'arme dont l'intrus la menace, elle meurt sur-le-champ.

À l'enterrement de la comtesse, Hermann croit la voir cligner malicieusement de l’œil. Frappé d'effroi, il s'effondre. En même temps, Lisabéta est prise d'un malaise sur le parvis de l'église.

La nuit suivante, Hermann a une vision. La comtesse vient lui révéler son secret : le trois, le sept et l'as, qu'il devra jouer à raison d'une seule carte par soirée. Mais elle lui fait promettre d'épouser Lisabéta et de ne plus jamais jouer. Hermann devient victime d'une idée fixe : il voit partout des trois, des sept et des as... Envisageant de rompre sa promesse, il songe à quitter l'armée et partir pour Paris, où il pourrait s'enrichir en paix.

Cependant, sûr de lui, il se rend au casino dès le lendemain soir. Il joue la première carte avec succès. Le surlendemain, il abat la deuxième carte et gagne. Le troisième soir, il mise toute sa fortune sur ce qu'il croit être l'as. Mais par inadvertance, il a joué la dame de pique. Il s'en rend compte trop tard. La carte ressemble étrangement à la comtesse. Elle lui adresse même un nouveau clin d'œil... Ruiné, il sombre dans la folie. Interné à l'hôpital psychiatrique d'Oboukhov, il répète sans cesse : « Trois, sept, as ! Trois, sept, dame[3] !... »

Lisabéta Ivanovna épouse un aimable jeune homme et Tomski convole en justes noces avec la princesse Pauline.

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