Bonjour
1. a. Quelle opinion Mercadet a-t-il de sa fille ?
Il ne pense rien de bien de sa fille, que ce soit physiquement ou intellectuellement.
Pour lui elle n'est qu'une jeune file, donc une marchandise à "vendre" à un mari fortuné et il l'estime vraiment peu....
Relevez les passages qui le montrent.
"La pauvre enfant n'est pas notre plus belle affaire"
....... qui pense que la laideur reste
Vous voulez dire qu'elle lit des romans; et, ce qui prouve qu'elle est une fille d'esprit c'est qu'elle n'en écrit pas
.... il fallait la faire jolie.
b. Qu'indique le vocabulaire qu'il emploie ?
du dédain, du mépris
2. Est-il surpris ou méfiant de savoir qu'un homme fait la cour à sa fille? Expliquez votre réponse.
Il est surpris (L 5 à 7)
et méfiant( L 9à 10)
il ne comprend pas comment on peut s'intéresser à une fille "si laide et sotte (ce qu'il pense d'elle) à moins de ne l'être aussi (sot) L. 9 à 10
3. Le mot «< affaire » est répété à deux reprises:
reformulez chaque phrase de manière à en préciser le sens.
la pauvre enfant n'est pas notre plus belle réussite
J'espère que Julie, malgré ses lectures, comprendra le mariage comme il doit être compris : en affaire par intérêt => Le mariage est une affaire comme les autres.
4. Selon vous, qu'espèrent M. et Mme Mercadet du mariage de leur fille?
Mr Mercadet espère retouver une prospérité perdue en mariant sa fille à quelqu'un de fortuné. Il agit par pur intérêt, par appât du gain
Mme Mercadet défend sa fille, vantant ses qualités, ne la rabaissant pas comme son mari le fait, mais ce dernier lui coupe presque à chaque fois la parole...
Texte 6
5. Quel point de vue sur le mariage de Melle Mercadet Pierquin partage-t-il avec M. Mercadet?
Le point de vue partagé est que le mariage est tout d'abord un intérêt financier. Ils n'ont que faire des sentiments, tant que le futur marié a une bonne situation, est riche.
6. De quoi soupçonne-t-il Mercadet? Qu'est-ce que cela indique au sujet du caractère de ce dernier ?
Il le soupçonne d'avoir inventé ce mariage pour faire taire les créanciers (Goulard a gobé l'hameçon) , d'avoir fait courir le bruit qu'elle allait épouser un millionnaire > "À fille sans dot riche mari, c'est hardi". lui dit Pierquin. (Lis tout le passge entre la L 14 à 17 du second texte.)
7 Expliquez comment, dans ce texte, Balzac critique la place de l'argent dans les relations familiales.
Zola disait de Balzac : Balzac a « dégagé de l’argent tout le pathétique terrible qu’il contient à notre époque »
Ici, on est dans une espèce de vaudeville, l'argent perdu, retouvé grâce au mariage de sa fille, qui n'est qu'une marchandise à ses yeux, censée lui faire oublier ses infortunes. Pas de place pour les sentiments, mais pour l'argent, seule et unique valeur, peu importe la façon d'y arriver.
Lorsque Pierquin demande = combien payez-vous le jeune homme ?
Mercadet répond = Ah Assez d'insolence...
Il ne manifeste pas de colère. On sentirait presque de l'ironie (je n'ai pas lu le livre)
Ije te laisse réécrire le dernier paragraphe... N'ayant pas lu le livre, je ne peux que supposer..
En général, je m'abstiens quand je n'ai pas lu le livre.... Ton insistance a fini par payer !!!
est-ce que vous avez étudié tout le livre ou simplement ce passage ???
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bonne soirée ☺☺☺
