Website Statistics un jour tu étais seule à la maison soudain tu entendis un bruit effrayant qui rendit de imagine le suite

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Il devait être 22h. Je ne pouvais dormir. Quelques choses m’en empêchaient.
Encore, dans mon dos, cette sensation d’être épiée.
J’avais la george sèche à force d’être restée silencieuse. La porte pourtant fermée grouillait dans le coin de mon œil d’une ombre chaque fois plus proche qui s’évaporait dès que je regardais tout à fait.
Le malaise. Je le ressentais enfoncer ses ongles écaillés dans mes épaules, chercher mon sang pour le glacer.
Une goutte longea mon cou, s’engouffra dans mon T-shirt et se confondit dans les plis qu’il s’offrait. Une deuxième suivit le même chemin.
Un frisson les accompagna.
Je voulu fermer les yeux quand une cloche au loin tinta. Cette fois ci, ce ne furent pas seulement les ongles qui se re enfoncèrent, mais une bouche toute entière sur mon cou qui me saisit. Pétrifiée, j’étais à la merci d’une ombre.
La bouche souffla. Je sais que ce n’était pas le vent, c’était elle, car je sentis qu’elle sourit. Elle ouvrit ses lèvres dans un énorme effort, comme un montre aurait fait, comme un gouffre au milieu de la mer se serait formé, comme un cyclone dans une tempête aurait percé ses ardeurs. Elle ouvrit ces lèvres qui ne devaient maintenant former plus qu’un fin trait tant elles devaient être distordues.
Et elle m’engloutis

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