Website Statistics Bonjour est ce que vous pouvez maider pour cet exercice svpppRelevez la ou les propositions subordonnées conjonctives introduites par que dans chaque extrait 1

Bonjour est ce que vous pouvez m'aider pour cet exercice svppp

Relevez la ou les proposition(s) subordonnée(s) conjonctive(s) introduite(s) par que dans chaque extrait.
1. Je pense que tous les gens de lettres sont comme moi, que jamais ils ne relisent leurs œuvres lorsqu'elles ont paru. Rien n'est, en effet, plus désenchantant, plus pénible, que de regarder, après des années, ses phrases.
2. Germinie se retourna vers le fils, lui dit que c'était une malheureuse. Mais cela ne fit qu'attacher le jeune homme à cette vilaine femme dont la mauvaise réputation le flat- tait. 3. Il vit que Mlle Bérard ouvrait ses petits yeux autant qu'il était possible. Bien, se dit-il, elle croit que je parle politique, et songe à faire son rapport.»
4. Et dans le silence absolu de la classe, où les couronnes de papier vert déchirées , les enveloppes des livres de prix, les tableaux épongés, tout disait que l'année était finie , les récompenses distribuées, tout attendait l'automne, la rentrée d'octobre et le nouvel effort - je pensais de même que notre jeunesse était finie et le bonheur manqué.​

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Réponse :

Bonjour

Explications :

Relevez la ou les proposition(s) subordonnée(s) conjonctive(s) introduite(s) par que dans chaque extrait. : en gras

1. Je pense que tous les gens de lettres sont comme moi, que jamais ils ne relisent leurs œuvres lorsqu'elles ont paru. Rien n'est, en effet, plus désenchantant, plus pénible, que de regarder, après des années, ses phrases.

2. Germinie se retourna vers le fils, lui dit que c'était une malheureuse. Mais cela ne fit qu'attacher le jeune homme à cette vilaine femme dont la mauvaise réputation le flattait.

3. Il vit que Mlle Bérard ouvrait ses petits yeux autant qu'il était possible. Bien, se dit-il, elle croit que je parle politique, et songe à faire son rapport

4. Et dans le silence absolu de la classe, où les couronnes de papier vert déchirées , les enveloppes des livres de prix, les tableaux épongés, tout disait que l'année était finie , les récompenses distribuées, tout attendait l'automne, la rentrée d'octobre et le nouvel effort - je pensais de même que notre jeunesse était finie et le bonheur manqué.​

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