Dans la cour de récréation, j'ai vu Simon se faire embêter par ses camarades à cause de sa différence. Il était seul, les yeux baissés, essayant de ne pas montrer qu'il était affecté par leurs moqueries. J'ai décidé de lui venir en aide. Je me suis approché d'eux et j'ai demandé à parler à Simon. Je lui ai dit qu'il ne devait pas se laisser intimider, que sa différence était ce qui le rendait unique et spécial. Les autres ont semblé se calmer en entendant mes paroles, réalisant peut-être que leur comportement n'était pas acceptable. Simon m'a regardé, les yeux brillants de gratitude, et j'ai su que j'avais fait la bonne chose en le défendant.