Je dois analyser le poème suivant vers par vers, or je n'y comprends rien et je n'ai presque aucune des références citées. Je dois également diviser le texte en 3 ou 4 parties de manière logique et leur donner un titre. Pouvez vous m'aider ? Voici le poème:

Pour moi commence l'exil d'amour de l'amour de l'amour
bien du monde pourra s'y reconnaitre pourtant
car j'en ai la plus haute idée
pour un fonctionnaire d'Allemagne
dans mon porte-chaussettes et ma culotte
je glissais dans une autre temporalité
les expressions étaient fraîches encor et crédibles:
voir Naples puis mourir et Agonie se faisant
j'ai pris les catacombes
puis suis ressorti de l'autre côté
A force de humer cette herbe cette fleur ce citron
je devins Inconstance
pluie d'amours
il a plu
l'être que tu fus
Seras-tu emphatique avec ma défaite ?
Tournons parfois le verre de nos lèvres l'essence goûte telle ...? à mi-chemin
j'ai vu le portrait d'un homme malade de ne pouvoir parler qu'en grognant des poèmes
Vide mon âme amoureuse comme ces cadavres de la veillée vous glissez sur mes lapsus lapislazuli
goutte
plus de semence
mais
le
prisme
la veste trop lourde de pierreries
j'ai créé un parfum
sueurs d'Antiterre
ô Soleil trop généreux je te suis endetté liberté
Aux champs Phlégréens je dois me retrouver dans mes profondeurs me dit la Sibylle
pas un sou pour la claque Me vois-tu, ô flaque?
Mes actions et mes pensées divorcent-elles ?
J'ai reçu des Sabines
sur un disque d'or
l'accord d'Ishtar!
où la femme l'emporte.
Voici l'été de notre mécontent déflagrations de la discorde -
Quand tu marches sur les pavés ici c'est
comme l'eau qui coule
dans la gorge des continents
écoute du sacrifice la rumeur liquoreuse:
tu es un circuit fermé d'habitudes
tu balances
l'emphase
tu recycles
l'empathie
tu balayes devant
tout ce qui a été cru
Tu ne peux plus t'effacer
d'autres
se sont chargés d'exécuter
ton portrait le cadeau impayable
de l'amitié - commune, commerce
échange, communie
donne ce que tu reçois :
Voici l'été de notre mécontent, voici la parole
Rends-la-moi tant qu'elle est fraîche
quand trempée de nuages apparaît la baie
suspendue
Ils disent au Purgatoire d'en manger régulièrement à la gloire de Pluton
le disparu
A force de humer cette herbe cette fleur ce citron
Quand
le cumulus nimbé de brouillons
(qui ne laissent
parfumés
pas de gonfler)
tu n'as plus de porte à passer
vient te border de paisibles angoisses