Website Statistics pouvais vous maider sil vous plait merci beaucoup III EXPRESSION ÉCRITE 20 points Pour conclure ce devoir tu vas effectuer un travail dexpression écrite qui pre

pouvais vous m'aider s'il vous plait. merci beaucoup

III - EXPRESSION ÉCRITE (20 points)
Pour conclure ce devoir, tu vas effectuer un travail d’expression écrite qui prendra la forme d’un poème.
Voici le sujet :
Rédige un poème en vers libres dans lequel, à la manière de Verhaeren, tu proposeras ta
propre vision de la ville moderne, avec ses éléments, ses formes, ses bruits...
Voici les consignes à respecter
1- Décris, dans ton poème, différents éléments de la ville : les bâtiments, les rues et les
avenues, les magasins, à l’aide d’expansions du nom. Emploie un vocabulaire varié.
2- Emploie différentes figures de style dans ta description : au moins deux métaphores
que tu encadreras et une personnification que tu souligneras.
3- Enrichis ta description en exprimant les différents bruits perçus dans la ville.
4- Utilise des mètres variés et fais rimer quelques vers.
5- Propose des jeux sur les sonorités : au moins une allitération en rouge et une assonance en vert.
6- Veille à l’orthographe et à la correction de la langue. Vérifie les accords sujet / verbe ainsi que les accords dans les groupes nominaux (accords déterminant-nom-adjectif qualificatif).
7- Écris un poème de trente vers, divisé en strophes.

Répondre :

Dans les méandres de la ville,
Les bâtiments se dressent, fiers et immenses,
Leurs façades de verre et d'acier reflètent
L'éclat blafard des néons et des enseignes.

Les rues s'étirent, comme des veines,
Pulsant de vie et de mouvement perpétuel,
Les passants, anonymes et pressés,
Glissent dans l'ombre des trottoirs étroits.

Les magasins s'ouvrent, gargantuesques,
Déversant leur flot incessant de consommateurs,
Leurs étalages débordent de tentations,
Sous le regard avide des vitrines hypnotiques.

La ville respire, criant sa vitalité,
Ses bruits cacophoniques, un concert incessant,
Le vacarme des voitures, le grondement du métro,
Le hurlement des sirènes, la musique des klaxons.

Au cœur de cette agitation,
La ville semble vivante, palpitante,
Comme un être de chair et de sang,
Respirant, vibrant, exhalant sa puissance.

Dans cette symphonie urbaine,
Les mots se mêlent, s'entremêlent,
Les sons s'entrechoquent, se répondent,
Dans une cacophonie harmonieuse.

Les allitérations rouges sifflent,
Les assonances vertes résonnent,
Et les vers, tourbillonnant dans l'air,
Dansent au rythme effréné de la ville.

Ainsi va la ville moderne,
Majestueuse et chaotique,
Une mer d'acier et de béton,
Où se perdent les âmes en quête d'aventure.

Dans ses ruelles sombres et tortueuses,
Se cachent des histoires, des secrets,
Et chaque coin de rue, chaque recoin obscur,
Recèle un fragment de l'âme de la ville.

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