Réponse :
Bien sûr, voici un dialogue imaginé entre Hernán Cortés, sa femme Malinche leur enfant, et un marchand d'esclaves. Ce dialogue est inspiré par les représentations historiques et artistiques de Diego Rivera sur la colonisation espagnole. Notez que le contexte historique est sombre et difficile, et il est important de traiter ce sujet avec sensibilité et respect pour les souffrances passées.
Explications :
Hernán Cortés : Bonjour, marchand. Nous avons besoin de plus de travailleurs pour nos terres. Qu'avez-vous à offrir ?
Marchand d’esclaves : Bonjour, señor Cortés. J'ai un groupe d'esclaves récemment arrivés de différentes tribus. Ils sont forts et en bonne santé, parfaits pour travailler dans les plantations et les mines.
Malinche : (portant l'enfant) D'où viennent ces esclaves ? Ont-ils été bien traités pendant le voyage ?
Marchand d’esclaves : Señora Malinche, ils viennent de diverses régions de Mésoamérique. Je vous assure qu'ils ont été nourris et soignés du mieux possible pendant le trajet. Nous n'amenons ici que les plus forts et résistants.
Cortés : Combien en avez-vous disponibles et quel est le prix de chacun ?
Marchand d’esclaves : J'en ai trente disponibles en ce moment. Le prix de chacun dépend de leur âge et de leur condition physique. Les jeunes et forts coûtent évidemment plus cher.
Malinche : (regardant les esclaves) Il est important que ces hommes et femmes soient bien traités. Nous devons nous assurer qu'ils puissent travailler sans problème.
Marchand d’esclaves : Bien sûr, señora. Tous ont été examinés et sont en bonne condition. Les plus jeunes peuvent apprendre rapidement n'importe quelle tâche qui leur est assignée.
Cortés : Très bien, je veux en inspecter quelques-uns avant de prendre une décision. (s'adressant à un groupe d'esclaves) Toi, lève-toi et montre-moi tes mains.
Esclave : (se levant et montrant ses mains tremblantes) Oui, señor.
Cortés : (à Malinche) Qu'en penses-tu, Malinche ? Ces hommes et femmes peuvent-ils être utiles ?
Malinche : (regardant avec inquiétude) Nous avons besoin de travailleurs, mais nous devons nous rappeler de les traiter avec humanité. Si nous les forçons trop, ils ne seront pas efficaces et cela sera contre-productif pour tout le monde.
Cortés : Tu as raison, comme toujours. (se tournant vers le marchand) Emmène-nous voir le reste. Je veux m'assurer que nous prenons la bonne décision.
Marchand d’esclaves : Suivez-moi, s'il vous plaît. Je vais vous montrer le reste du groupe.