Répondre :
Dans l'ombre des barbelés, cris muets,
Les âmes brisées, les cœurs en détresse,
Les étoiles éteintes, l'horreur sans cesse,
Auschwitz, Buchenwald, noms gravés à jamais.
Les trains de la mort, les visages blêmes,
Les chambres à gaz, la fumée qui s'élève,
Les enfants perdus, les espoirs en grève,
La haine aveugle, l'humanité en blasphème.
Les numéros tatoués, les regards vides,
Les souvenirs d'un monde anéanti,
Les cris de l'innocence, l'histoire meurtrie,
Les ombres errantes, les rêves livides.
Mais dans ce sombre abîme, une lueur,
La résistance, la solidarité qui s'élève,
Les justes qui cachent, qui sauvent, qui relèvent,
L'espoir fragile, la mémoire en ferveur.
N'oublions jamais, gardons en nos cœurs,
Le devoir de dire, de témoigner, de prévenir,
Pour que l'horreur ne puisse jamais revenir,
Et que la paix triomphe, malgré les douleurs.
Voilà j’espère que je t’aurais aidé
Les âmes brisées, les cœurs en détresse,
Les étoiles éteintes, l'horreur sans cesse,
Auschwitz, Buchenwald, noms gravés à jamais.
Les trains de la mort, les visages blêmes,
Les chambres à gaz, la fumée qui s'élève,
Les enfants perdus, les espoirs en grève,
La haine aveugle, l'humanité en blasphème.
Les numéros tatoués, les regards vides,
Les souvenirs d'un monde anéanti,
Les cris de l'innocence, l'histoire meurtrie,
Les ombres errantes, les rêves livides.
Mais dans ce sombre abîme, une lueur,
La résistance, la solidarité qui s'élève,
Les justes qui cachent, qui sauvent, qui relèvent,
L'espoir fragile, la mémoire en ferveur.
N'oublions jamais, gardons en nos cœurs,
Le devoir de dire, de témoigner, de prévenir,
Pour que l'horreur ne puisse jamais revenir,
Et que la paix triomphe, malgré les douleurs.
Voilà j’espère que je t’aurais aidé