Website Statistics 4 Voici des comparaisons créées par des poètes Pour chacune delles dites quels sont le comparé et le comparant Quels points communs peuton trouver entre eux 1 L

4 Voici des comparaisons créées par des poètes.
Pour chacune d'elles, dites quels sont le comparé et le comparant. Quels points communs peut-on trouver entre eux ?

1. La terre est bleue comme une orange. (Paul Eluard)
2. Comme un vol criard d'oiseaux en émoi
Tous mes souvenirs s'abattent sur moi. (Verlaine)
,3. Elle est noire comme cirage, comme un nuage au ciel d'orage et le plumage du corbeau... (Georges Fourest)
¡4. Je suis fidèle comme un dogue
Au maître le lierre au tronc. (Guillaume Apollinaire).
5. Le fleuve est semblable à ma peine
Il s'écoule et ne tarit pas. (Guillaume Apollinaire)

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Réponse:

1. Dans la phrase "La terre est bleue comme une orange" de Paul Eluard, le comparé est "la terre" et le comparant est "une orange". Les points communs entre eux sont la couleur bleue, qui est associée à la terre et à l'orange dans cette comparaison poétique.

2. Dans le vers "Comme un vol criard d'oiseaux en émoi, tous mes souvenirs s'abattent sur moi" de Verlaine, le comparé est "tous mes souvenirs" et le comparant est "un vol criard d'oiseaux en émoi". Les points communs sont l'idée de mouvement rapide et bruyant évoquée par la comparaison.

3. Dans le texte "Elle est noire comme cirage, comme un nuage au ciel d'orage et le plumage du corbeau" de Georges Fourest, le comparé est "elle" (probablement une entité féminine) et les comparants sont "cirage", "un nuage au ciel d'orage" et "le plumage du corbeau". Les points communs sont la couleur noire et les images sombres associées à chaque comparant.

4. Dans le vers "Je suis fidèle comme un dogue au maître le lierre au tronc" de Guillaume Apollinaire, le comparé est "je" (le locuteur) et le comparant est "un dogue". Les points communs sont la fidélité et la loyauté évoquées par la comparaison.

5. Dans le texte "Le fleuve est semblable à ma peine, il s'écoule et ne tarit pas" de Guillaume Apollinaire, le comparé est "le fleuve" et le comparant est "ma peine". Les points communs sont l'idée d'écoulement continu et inépuisable associée à la peine du locuteur et au fleuve.

J'espère que ma réponse t'a aider passe une bonne soirée

Bonjour;

comparé

comparant

1. La terre est bleue comme une orange. (Paul Eluard)

2. Comme un vol criard d'oiseaux en émoi

Tous mes souvenirs s'abattent sur moi. (Verlaine)

,3. Elle est noire comme cirage, comme un nuage au ciel d'orage et le plumage du corbeau... (Georges Fourest)

¡4. Je suis fidèle comme un dogue

Au maître le lierre au tronc. (Guillaume Apollinaire).

5. Le fleuve est semblable à ma peine

Il s'écoule et ne tarit pas. (Guillaume Apollinaire)

Quels points communs peut-on trouver entre eux ?

On utilise des comparaisons pour mieux décrire des émotions .

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