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Exemple de continuation de l’Acte III, scène 6
Acte III, Scène 7
Scapin, Sylvestre, Géronte
Géronte : Qu'est-ce que j'entends, Scapin ? Vous m'avez encore trompé ?
Scapin (feignant l'innocence) : Moi, Monsieur ? Comment aurais-je pu vous tromper, alors que je n'ai fait que suivre vos ordres à la lettre ?
Géronte : Mes ordres ! Vous vous moquez de moi. Je n'ai jamais ordonné qu'on me vole !
Scapin : Ah, Monsieur, vous interprétez mal mes actions. Tout ce que j'ai fait était pour protéger votre honneur et celui de votre famille.
Sylvestre (à part) : Que va-t-il encore inventer ?
Géronte : Protéger mon honneur, dites-vous ? Expliquez-vous !
Scapin : Eh bien, Monsieur, la vérité est que votre fils Octave était en grand danger. Une bande de voleurs menaçait de le kidnapper. J'ai dû agir vite et donner l'argent pour le sauver. Auriez-vous préféré que je laisse votre fils aux mains de ces brigands ?
Géronte (interloqué) : Des voleurs ? Pourquoi ne m'a-t-on rien dit ?
Scapin : Il fallait agir dans la plus grande discrétion pour ne pas alarmer la famille. Vous savez combien Madame Argante se serait inquiétée.
Sylvestre (à part) : Quelle audace ! Il tourne tout à son avantage.
Géronte : Et où est Octave maintenant ?
Scapin : En sécurité, Monsieur. Mais il m'a demandé de vous dire qu'il regrette profondément ce qui s'est passé.
Géronte : Il a intérêt ! Et vous, Scapin, j'ai les yeux sur vous. Un autre faux pas et vous serez banni de cette maison.
Scapin (avec un sourire malicieux) : Je n'oserais jamais vous décevoir, Monsieur.
(Géronte sort, toujours furieux)
Sylvestre : Scapin, tu as une chance inouïe ! Comment fais-tu pour toujours t'en sortir ?
Scapin : Mon cher Sylvestre, la ruse est un art que peu maîtrisent. Et maintenant, à nous deux, j'ai une autre idée pour arranger cette affaire...
(Ils sortent, Scapin entraînant Sylvestre dans une nouvelle aventure)
Acte III, Scène 7
Scapin, Sylvestre, Géronte
Géronte : Qu'est-ce que j'entends, Scapin ? Vous m'avez encore trompé ?
Scapin (feignant l'innocence) : Moi, Monsieur ? Comment aurais-je pu vous tromper, alors que je n'ai fait que suivre vos ordres à la lettre ?
Géronte : Mes ordres ! Vous vous moquez de moi. Je n'ai jamais ordonné qu'on me vole !
Scapin : Ah, Monsieur, vous interprétez mal mes actions. Tout ce que j'ai fait était pour protéger votre honneur et celui de votre famille.
Sylvestre (à part) : Que va-t-il encore inventer ?
Géronte : Protéger mon honneur, dites-vous ? Expliquez-vous !
Scapin : Eh bien, Monsieur, la vérité est que votre fils Octave était en grand danger. Une bande de voleurs menaçait de le kidnapper. J'ai dû agir vite et donner l'argent pour le sauver. Auriez-vous préféré que je laisse votre fils aux mains de ces brigands ?
Géronte (interloqué) : Des voleurs ? Pourquoi ne m'a-t-on rien dit ?
Scapin : Il fallait agir dans la plus grande discrétion pour ne pas alarmer la famille. Vous savez combien Madame Argante se serait inquiétée.
Sylvestre (à part) : Quelle audace ! Il tourne tout à son avantage.
Géronte : Et où est Octave maintenant ?
Scapin : En sécurité, Monsieur. Mais il m'a demandé de vous dire qu'il regrette profondément ce qui s'est passé.
Géronte : Il a intérêt ! Et vous, Scapin, j'ai les yeux sur vous. Un autre faux pas et vous serez banni de cette maison.
Scapin (avec un sourire malicieux) : Je n'oserais jamais vous décevoir, Monsieur.
(Géronte sort, toujours furieux)
Sylvestre : Scapin, tu as une chance inouïe ! Comment fais-tu pour toujours t'en sortir ?
Scapin : Mon cher Sylvestre, la ruse est un art que peu maîtrisent. Et maintenant, à nous deux, j'ai une autre idée pour arranger cette affaire...
(Ils sortent, Scapin entraînant Sylvestre dans une nouvelle aventure)