Website Statistics bonjour cest urgent je dois imaginez en 25 lignes la suite de lhistoirevoici lhistoire Écoutez reprit Madeleine il y a encore assez de place sous la voiture po

bonjour c'est urgent je dois imaginez en 25 lignes la suite de l'histoire.

voici l'histoire

— Écoutez, reprit Madeleine, il y a encore assez de place sous la voiture pour qu’un homme s’y glisse et la soulève avec son dos. Rien qu’une demi-minute, et l’on tirera le pauvre homme. Y a-t-il ici quelqu’un qui ait des reins1 et du cœur2 ? Cinq louis d’or3 à gagner !
Personne ne bougea dans le groupe.
[…] — Ce n’est pas la bonne volonté qui leur manque, dit une voix.
M. Madeleine se retourna, et reconnut Javert. Il ne l’avait pas aperçu en arrivant.
Javert continua :
— C’est la force. Il faudrait être un terrible homme pour faire la chose de lever une voiture comme cela sur son dos.
Puis, regardant fixement M. Madeleine, il poursuivit en appuyant sur chacun des mots qu’il prononçait :
— Monsieur Madeleine, je n’ai jamais connu qu’un seul homme capable de faire ce que vous demandez là.
Madeleine tressaillit.
Javert ajouta avec un air d’indifférence, mais sans quitter des yeux Madeleine :
— C’était un forçat.
— Ah ! dit Madeleine.
— Du bagne de Toulon.
Madeleine devint pâle.
Cependant la charrette continuait à s’enfoncer lentement. Le père Fauchelevent râlait4 et hurlait :
— J’étouffe ! Ça me brise les côtes ! Un cric5 ! quelque chose ! Ah !
Madeleine regarda autour de lui :
— Il n’y a donc personne qui veuille gagner vingt louis et sauver la vie à ce pauvre vieux ?
Aucun des assistants ne remua. Javert reprit :
— Je n’ai jamais connu qu’un homme qui pût remplacer un cric. C’était ce forçat.
— Ah ! voilà que ça m’écrase ! cria le vieillard.
Madeleine leva la tête, rencontra l’œil de faucon de Javert toujours attaché sur lui, regarda les paysans immobiles, et sourit tristement. Puis, sans dire une parole, il tomba à genoux, et avant même que la foule eût eu le temps de jeter un cri, il était sous la voiture.
Il y eut un affreux moment d’attente et de silence.
On vit Madeleine presque à plat ventre sous ce poids effrayant essayer deux fois en vain de rapprocher ses coudes de ses genoux. […]
Les assistants haletaient. Les roues avaient continué de s’enfoncer, et il était déjà devenu presque impossible que Madeleine sortît de dessous la voiture.
Tout à coup on vit l’énorme masse s’ébranler, la charrette se soulevait lentement, les roues sortaient à demi de l’ornière. On entendit une voix étouffée qui criait :
– Dépêchez-vous ! aidez !
C’était Madeleine qui venait de faire un dernier effort.
Ils se précipitèrent. Le dévouement d’un seul avait donné de la force et du courage à tous. La charrette fut enlevée par vingt bras. Le vieux Fauchelevent était sauvé.
Madeleine se releva. Il était blême, quoique ruisselant de sueur. Ses habits étaient déchirés et couverts de boue. Tous pleuraient. Le vieillard lui baisait les genoux et l’appelait le bon Dieu. Lui, il avait sur le visage je ne sais quelle expression de souffrance heureuse et céleste, et il fixait son œil tranquille sur Javert qui le regardait toujours.    

Répondre :

Javert avait- il compris qu'il était celui qu'il cherchait  et cherchait toujours , comme un chien

 

sent le renard et le poursuit sans relâche ?

 

-D'où venez-vous déjà Monsieur Le Maire? Dit Javert

 

Madeleine ne répondit pas, son regard se posait sur Javert puis sur Fauchelevent.Il

 

reprenait des couleurs et essuyait la sueur qui avait coulé sur son visage, il avait soif, mais

 

ce n'était pas le moment d"y penser. il ne savait pas comment réagir que répondre.Les

 

habitants de la ville le regardaient, Fauchelevent aussi.Personne ne savait en fait d'où il

 

venait.

 

- Je répète ma question, Monsieur le Maire d'où venez-vous?

 

C'est alors que Fauchelevent prit la parole.

 

- Monsieur L'inspecteur Javert, est-ce vraiment la question à poser  à Monsieur Le Maire ne

 

croyez vous pas qu'il seraIt préférable de lui demander s'il n'est pas trop fatigué,je

 

suppose que vous avez  vu qu'il m'a sauvé la vie? Cet homme est un Saint, Monsieur

 

Javert, qui d'autres à part un Saint homme aurait mis sa vie en danger pour moi, qui ne suis

 

qu'un simple paysan?

 

D'où il vient , nous, on s'en moque, quelle importance cela a t il?sans lui je serai mort.

 

Alors peu importe d'où il vient ,il est mon sauveur et celui qui est le plus respecté de la ville.

 

Chez nous il ne fait que le bien, les hommes,les femmes et les enfants, l'aiment et

 

l'apprécient.C'est un honneur de l'avoir comme maire.

 

JAvet eut un rictus qui ressemblait à un sourireet répondit:

 

- Quelle belle plaidoirie en faveur de votre Maire Fauchelevent, mais il n'empêche que je

 

veux voir et avoir une discussion avec Madeleine, disons demain matin, dit -il en se tournant 

 

vers celui-ci .Je vous laisse  pour ce soir avec vos amis, vous paraissez harassé par l'effort 

 

fourni et  je vous comprends , pourtant, je vous dis à bientôt et à demain 11heures au

 

commissariat.Il regarda la foule autour de lui, il ne pouvait pas agir à sa guise, trop de

 

monde.

 

Madeleine le regarda partir, il savait que dès demain la ville devrait trouver un autre maire ; il

 

lui fallait  encore fuir.

 

Voilà , j'espère que cela ira, à plus. 

 

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