D'Artagnan, monté à Paris pour s'engager parmi les mousquetaires du roi, se lie d'amitié avec trois d'entre eux. C'est alors qu'ils rencontrent les gardes du cardinal de Richelieu qui leur lancent un défi. Les combattants se précipitèrent les uns sur les autres avec fureur. D'Artagnan se retrouva face à Jussac lui-même. Le jeune Gascon se battait comme un tigre et cette lutte finit par faire perdre patience à Jussac. Furieux d'être tenu en échec par celui qu'il avait regardé comme un enfant, il s'énerva et commença à faire des fautes. D'Artagnan redoubla d'agilité. Voulant désarmer son adversaire, Jussac lui porta un coup qu'il croyait imparable; mais emporté par son élan, il vint s'embrocher sur l'épée de d'Artagnan. Le garde du cardinal s'écroula comme une masse. D'Artagnan jeta alors un coup d'œil inquiet et rapide sur le champ de bataille. Aramis avait déjà tué un de ses adversaires. Porthos avait reçu un coup d'épée au bras.


A. À quel type de texte cet extrait appar- tient-il ? Justifiez votre réponse.
B. Pourquoi les deux derniers verbes sont-ils au plus-que-parfait de l'indicatif ?​