Website Statistics Exercice de réécriture Réécrivez le texte suivant à la troisième personne de pluriel en supposant que monseigneur Yvain soit accompagné de monseigneur Gauvain V

Exercice de réécriture Réécrivez le texte suivant à la troisième personne de pluriel, en supposant que monseigneur Yvain soit accompagné de monseigneur Gauvain. Vous ferez toutes les modifications nécessaires. << Monseigneur Yvain cheminait, pensif, dans une forêt profonde quand, au milieu des fourrés, il entendit un cri de douleur perçant. Aussitôt, il se dirigea vers l'endroit d'où venait cette plainte . Lorsqu'il y parvint, il vit, dans une clairière, un lion aux prises avec un serpent qui le tenait par la queue et qui lui brûlait les flancs d'une flamme ardente. Monseigneur Yvain ne s'attarda pas longtemps à regarder ce spectacle prodigieux. Il se demanda qui des deux il aiderait et décida de secourir le lion car on ne doit faire du mal qu'à un animal malfaisant et perfide ; or, le serpent est malfaisant : sa gueule vomit le feu tant il est plein de traîtrise. Voilà pourquoi Monseigneur Yvain décida de le tuer. Il tire son épée, s'approche, met son écu devant son visage pour se protéger des flammes que l'animal crache par sa gueule plus large qu'une marmite. » Chrétien de Troyes, Yvain ou le Chevalier au lion It's elais chemi ​
est merci a la personne qui voudra m'aider

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Monseigneur Yvain et Monseigneur Gauvain cheminaient, pensifs, dans une forêt profonde quand, au milieu des fourrés, ils entendirent un cri de douleur perçant. Aussitôt, ils se dirigèrent vers l'endroit d'où venait cette plainte . Lorsqu'ils y parvinrent, ils virent, dans une clairière, un lion aux prises avec un serpent qui le tenait par la queue et qui lui brûlait les flancs d'une flamme ardente. Monseigneur Yvain et Monseigneur Gauvain ne s'attardèrent pas longtemps à regarder ce spectacle prodigieux. Ils se demandèrent qui des deux ils aideraient et décidèrent de secourir le lion car on ne doit faire du mal qu'à un animal malfaisant et perfide ; or, le serpent est malfaisant : sa gueule vomit le feu tant il est plein de traîtrise. Voilà pourquoi Monseigneur Yvain et Monseigneur Gauvain décidèrent de le tuer. Ils tirèrent leur épée, s'approchèrent, mirent leur écu devant leur visage pour se protéger des flammes que l'animal crache par sa gueule plus large qu'une marmite. »

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