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résolu

Bonjour, quelqu’un pourrait m’aider s’il vous plaît ? Je vous remercie d’avance pour votre gentillesse

2a. Dans l'extrait ci-dessous, relevez les compléments
du nom et précisez, pour chacun d'eux, le nom qu'il
complète. b. Justifiez l'accord des adjectifs épithètes.
c. Dans les subordonnées relatives, justifiez l'accord du
verbe conjugué.


«J'ai l'air du fils d'un apothicaire, d'un vrai courtaud
de boutique!» se dit-il à lui-même avec rage en voyant
passer les gracieux, les coquets, les élégants jeunes gens
des familles du faubourg Saint-Germain, qui tous avaient
une manière à eux qui les rendait tous semblables par la
finesse des contours, par la noblesse de la tenue, par l'air
du visage; et tous différents par le cadre chacun s'était
choisi pour se faire valoir.
que
Honoré de Balzac, Illusions perdues, 1837.

Répondre :

niogret2m

Réponse :

a. Dans l'extrait ci-dessous, relevez les compléments du nom et précisez, pour chacun d'eux, le nom qu'il complète.

«J'ai l'air du fils d'un apothicaire, d'un vrai courtaud / de boutique !» se dit-il à lui-même avec rage en voyant passer les gracieux, les coquets, les élégants jeunes gens des familles du faubourg Saint-Germain, qui tous avaient une manière à eux qui les rendait tous semblables par la finesse des contours, par la noblesse de la tenue, par l'air du visage ; et tous différents par le cadre chacun s'était choisi pour se faire valoir.

b. Justifiez l'accord des adjectifs épithètes.

«J'ai l'air du fils d'un apothicaire, d'un vrai courtaud de boutique » se dit-il à lui-même avec rage en voyant passer les gracieux, les coquets, les élégants jeunes gens des familles du faubourg Saint-Germain, qui tous avaient une manière à eux qui les rendait tous semblables par la finesse des contours, par la noblesse de la tenue, par l'air du visage ; et tous différents par le cadre chacun s'était choisi pour se faire valoir.

c. Dans les subordonnées relatives, justifiez l'accord du verbe conjugué.

"qui tous avaient une manière à eux  (avaient : sujet qui mis pour "jeunes gens")

qui les rendait (sujet "qui" mis pour l'antécédent manière) tous semblables par la finesse des contours, par la noblesse de la tenue, par l'air du visage"

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